

Et j’observe à quel point naturellement, lorsqu’une mémoire gênante arrive à ma conscience, j’essaie de la faire disparaître.
Je la rejette !
Je la juge : « mauvais souvenir » et tente de la renvoyer dans l’oubli, d’où elle est venue.

C’est à dire être accueillie au cœur,
être écoutée,
être entendue,
pour que je vibre enfin sa parfaite résolution,
dans la gratitude,
et la joie d’effectuer ce ménage intérieur


à quel point la présence, qui se développe en méditation,
permet de sortir de cette blessure de rejet,
de cette fuite de soi, loin du ressenti.

qui ne pouvait être que mental avant,
devient de plus en plus subtil dans le ressenti,
permettant des libérations de plus en plus rapides et fluides


tu peux commencer immédiatement,
à accueillir avec patience,
cette habitude à fuir ce qui te dérange,

pour ton/ notre évolution,
pour la vie
