Il nous invite à mettre du sens sur les mal-à-dit, afin de mettre en conscience ce que notre corps nous dit.
A la maternité après la naissance de mon enfant, en train
d'allaiter, j'ai chopé un torticolis. Rentrée à la maison, mon mal empirait, jusqu'à pleurer et seule une minerve me soulageait.
Le grand dictionnaire de J. Martel me parle en ces termes.
Torticolis : « Il est aussi important que je m'arrête pour constater dans quelle direction je refuse de regarder ou quelle est la chose que je m'entête ou m'obstine à voir,
dire ou faire . »
Mon enfant était né en mai et je m'obstinais à vouloir déménager
en septembre en changeant de département. Mon corps me parlait fatigué et n'était pas prêt à déménager.
Au moment même ou je comprends cela et que les mots dans ma tête
ont raisonnés dans le bon ordre, j'ai ressenti comme des étincelles et la moitié de mon dos s'est libéré, quel soulagement ! C'était miraculeux de fulgurance. Pour libérer la
2ième moitié moins mentale, il a fallu que j'aille voire l'ostéopathe
Depuis, je n'ai eu de cesse de libérer les maux grâce à mes mots
et principalement grâce à Ho'oponopono...
... même si, en ce moment, je m'éloigne de mon mental pour me
connecter aux inspirations en entrant dans l'instant présent, de plus en plus souvent..